Après avoir gagné une énième fois le championnat des rallyes, Sébastien Loeb est accueilli par son responsable.
Dialogue.
- Seb, bravo, tu es fabuleux. Quel talent !
- Merci.
- Avec les produits dérivés et les contrats d'exclusivité, on a fait de très bonnes opérations financières grâce à toi.
- Ca tombe bien que tu en parles, à propos de mon augmentation ...
- Ha oui mais bon, tu comprends, on ne va pas pouvoir faire beaucoup. Il a fallu réinvestir massivement cette année pour compenser les pertes de l'année dernière et là on est à cours de liquidités. L'année prochaine ça ira mieux.
- Zut alors. Je suis déçu.
- En plus, pour l'année prochaine, on a vu avec la fédération et ils ne souhaitent plus que tu participes au championnat. Ils veulent faire place aux petits jeunes, il faut bien qu'ils se forment.
- Ha bon ?
- Ben oui. Mais ne t'en fait pas, on va te trouver un autre volant, c'est pas ce qui manque. Qu'est ce que tu voudrais faire ?
- Ben ... je sais pas ... moi ce que je sais faire, c'est conduire en rallye.
- Et faire un championnat ailleurs ? Je suis sûr que ça te plairait. On a été contacté pour le championnat des rallyes en Corée. Ca peut t'intéresser ?
- Du Nord ou du Sud ?
- Je ne sais pas de quoi tu parles.
- Oublies, c'est technique. C'est à dire ... c'est quand même pas la porte à côté, il y aura les trajets, j'ai une femme moi.
- Bon c'est pas grave ... on va te trouver quelque chose de plus proche. Tu as déjà essayé le sport prototype il me semble.
- J'ai pas été convaincu.
- Parce qu'on a un volant pour les 24 heures du Mans là. C'est le weekend prochain. Ca te permettra de te préparer.
- J'ai dit que je n'avais pas aimé.
- Tu verras, tu vas t'éclater, c'est génial, c'est pour une petit écurie qui monte; Traban.
- ...
- C'est moi ou je te sens pas très chaud ? Bon, sinon, on a autre chose dans ta spécialité: le rallye Paris Dakar.
- Ha ?
- En moto.
- Je ne fais pas de moto moi, je pilote des voitures.
- Rho, c'est pareil ! Des roues, un moteur, tu remplaces le volant par un manche à balai
- Un guidon
- Ou ça oui ... comme tu veux; l'important c'est que t'es bon. Tu t'en sortiras toujours, je te connais.
- Pas sur une moto.
- Ecoute je fais ce que je peux pour te placer moi, mais tu n'y mets pas du tiens. Bon sinon j'ai une piste, il faudrait que je les relance. C'est pas vraiement de la compétition par contre. Pilote d'essai.
- Pour quoi ?
- Le tout nouvel A380, un projet ambitieux qui va faire avancer l'Europe. Ca ferfait bien sur ton C.V. Et puis ça reste un moyen de transport, comme la voiture. Je te laisse y réfléchir hein, là il faut que je parte en clientèle; j'avais rendez-vous il y a une demi-heure. Ce qui serait bien c'est que tu restes ce soir pour aider au bricolage d'un nouveau moteur. Tu verras avec le chef de projet Vincent Perrot, il faut qu'il puisse faire un run pour le Guiness Book et c'est demain dernier délai. Et puis sinon après tu n'auras qu'à t'autoformer à la conduite de bâteaux sous pavillon de complaisance, on va avoir un gros contrat avec Total. Bon je te laisse. On se tient au courant, d'accord ?
- ...
Ce dialogue vous a semblé ubuesque ? Pourtant c'est ce qu'on sert régulièrement aux informaticiens. "T'es administrateur Unix ? Ca tombe bien j'ai une mission de développement en .NET qui pourrait t'intéresser". Et c'est pas la peine d'expliquer à son commercial que c'est pas pareil; il fera celui qui ne veut pas comprendre pour se dédouaner et vous imputer tout échec chez le client. Il n'en a rien a foutre parce que son unique but, c'est de vous sortir de ses statistiques d'intercontrat pour faire plaisir au conseil d'administration.
En société de service l'ingénieur est un coût et un poids, jamais une ressource.
C'est ça qu'on devrait enseigner aux futurs ingénieurs au lieu de les faire monter en compétence sur des technologies qu'il ne pourront jamais utiliser.
Blog exutoire permettant aux consultants d'extérioriser tous les problèmes qu'ils peuvent rencontrer que ce soit dans le cadre de leur mission chez le client ou bien avec leur propre société : incompréhension, mauvaise foi, indifférence, langue de bois ...
30 janvier 2008
25 janvier 2008
Déroulement d'un projet
Un projet court réalisé récemment étape par étape:
- Qualification : Ma boîte présente 2 profils, moi, présenté comme expert dans la techno, c'est déjà un peu (beaucoup, je suis autoformé) abusif. Et un autre développeur expériment. Je fais mon petit show, blablabla, le tout en costume, ça marche, on a le projet.
- Démarrage du projet : Le petit développeur est sympathique, on discute au café et ... c'est juste pas un développeur, alors quand a parlé d'expérimenté ... une sortie d'école, et qui n'a jamais fait de développement ("un peu de vb à l'école"). J'appelle ma commerciale et lui confie mes doutes quant au capacité du petit scarabée à mener à bien la mission. "Motivé il est" fut sa réponse. Bien. On va le tenter alors (ai-je vraiment le choix?).
- Réalisation : Je suis chez le client de temps en temps, j'explique les grandes lignes de l'architecture, je réalise des petits bouts de développement un peu complexe, mache le travail du petit jeune et lui explique les choses de la vie ("là tu vois, ça, c'est une variable ... demain je t'explique ce qu'est un objet").
- J'ai un peu de vacances en fin d'année donc je donne des devoirs à l'aspirant JEDI. ("Terminer tes dev tu devras", "Tes tests unitaires tu rédigeras", "La documentation point tu n'oublieras", "Au passage si tu pouvais zigouiller un ou deux Sith, ça serait top" ...).
- Fin de vacances, le client crie à l'aide, l'application ne fonctionne pas en recette.
- Je passe chez le client pour m'apercevoir que le petit scarabée est passé du côté obscur (il n'a pas terminé les devs et s'est barré comme un voleur)
- Donc j'essaie de réparer le bazard, j'y passe 2 nuits et 1,5 jours chez le client ... Bien que la force soit avec moi (elle me quitte à vitesse grand V), je n'arrive pas à rattraper 2 mois et demi de mollesse et d'incompétence.
- Je ne peux pas intervenir davantage, donc ma boîte envoie 2 petits aspirants JEDI (dont celui du début) pour le prix d'un.
- Cellule de crise et tout le toutim, barrouf, je gère plus le projet, un consultant sénior (un mec du conseil JEDI quoi :D) reprend les choses en main.
- 3 semaines de blackout total ... Et finalement un appel ... roulement de tambour ... CA MARCHE PAS.
- Donc j'y retourne tout en sachant que c'est pas jouable dans le temps demandé (14 jours de devs à faire en 3). que la force soit avec toi.
- Je crois que c'est là que l'étoile noire explose.
Je tiens à m'excuser, je n'avais pas prévu la métaphore filée sur une double trilogie (je connais que les syllogismes et pas les silogie) célèbre. Elle contient en plus surement quelques approximations :D.
Manquerait plus que la chef de projet m'accueille avec des macarons sur la tête lundi :P
Coach pour chèvre
Si vous démarrez un projet, à haute valeur ajoutée, n'hésitez pas à faire appel à moi.
Grande expérience dans le coaching de chèvre.
Pré-requis :
Grande expérience dans le coaching de chèvre.
Pré-requis :
- Avoir une chèvre sous la main.
- Ne pas trop se soucier des éventuelles répercussions en terme d'image chez le client.
Premier poste d'une longue série (je fais dans le teaser)
24 janvier 2008
Distorsion temporelle
Encore 1 semaine et demi avant de sortir (enfin !!!) de chez mon client actuel.
Mais que le temps semble long ...
J'ai réellement hate de ne plus voir certaines personnes. Le pire dans l'histoire c'est que de savoir que je ne les verrais plus dans 1 semaine et demi me les rend encore plus insupportable au quotidien.
Personne n'a une commande "avance rapide" ?
Mais que le temps semble long ...
J'ai réellement hate de ne plus voir certaines personnes. Le pire dans l'histoire c'est que de savoir que je ne les verrais plus dans 1 semaine et demi me les rend encore plus insupportable au quotidien.
Personne n'a une commande "avance rapide" ?
22 janvier 2008
21 janvier 2008
19 janvier 2008
SNAFU
Alors voila ... après m'être fait piétiné le moral par mon enculé de commercial il y a quelques mois, j'avais décidé de chercher un nouveau job à l'instar d'autres de ce blog, plutôt que de massérer dans mon spleen.
Mon C.V a plu, c'est certain. Mon discours aussi, fougueux et plein de verve. Jeune mais pas foufou. Vieux mais encore dynamique. Je n'ai pas eu à chercher beaucoup pour trouver mieux payé. 10% de culbute pour ... une autre société de services.
Et là je me suis dit: "à quoi bon ?". Surtout en devinant que je n'allais pas être augmenté avant plusieurs années et que la société de services en question risquait fort de m'envoyer par monts et par vaux.
J'ai refusé le poste, prétextant une alternative plus intéressante (attendre mieux en l'occurence).
Et depuis, plus rien. Tout le monde fait le mort.
Enfin presque tout le monde. Depuis plusieurs jours, mon trou du cul de commercial me harcèle au téléphone. "Il faut que tu me rappelle". Ben non, j'ai pas de GSM de fonction, moi, et en plus je suis enfin en vacances, loin des turpitudes professionnelles, alors lâche moi un peu les couilles grand con.
En reprennant hier, je l'ai tout de même rappelé. Il voulait me demander des informations sur la fin de ma mission. Comme je n'en avais aucune depuis mon départ, il a téléphoné dans la foulée à mon responsable client qui lui a dit que ... ce genre d'information ne se lâchait pas au téléphone en plein milieu d'un open space. Ca me fait toujours triper quand la relation sempaï / kohaï remontre à contre-courant de l'âge.
C'est aussi très marrant de voir comment quelqu'un au planning soi-disant surchargé, arrive à débloquer une heure ou deux pour un rendez-vous parce qu'il le veut bien. Décallant ce faisant d'autres rendez-vous et faisant chier un max de monde, je connais l'animal.
Enfin passons, il s'avère que ma mission va se terminer sous peu. Ce qui arrange bien mon connard de commercial qui cherchait justement à me placer ailleurs. Un truc que je ne sais pas faire. Un truc que je n'aime pas faire. Un truc que je vais quand même devoir faire.
Le hic, c'est que je me suis un peu avancé en lui lâchant froidement à la gueule que s'il me les brisait trop menues, j'avais une offre plus intéressante de la concurrence. Ce a quoi il a répondu du tac au tac: "on se voit cet aprem et t'es plus là lundi". Mouhhaaa ... :-(((
C'est fou ce qu'on peu apprendre sur soi même en peu de tempse suis un pleutre et un poltron. La mission que me proposait mon salaud de commercial avait l'avantage d'avoir une grosse visibilité et de ne pas être trop loin de chez moi (les raisons qui ont fait que j'ai refusé l'offre concurrente). Et puis bon en ce moment, je cours après les thunes alors le chômage sans indemnité serait pire qu'un boulot de merde, dans une société de service de merde, avec un commercial de merde, chez un client de merde. Bref, j'étais dans la ... panade.
Tel un chien battu, j'ai donc rappelé mon trou du cul de commercial, la queue entre les jambes et j'ai sacrifié aux fourches caudines. Lui expliquant que la mission était intéressante, que j'avais déjà décidé de rester. Et lui de jubiler en me servant un gros lavage de cerveau façon "bon retour dans notre secte, petite brebis égarée".
Là tout de suite, j'hésite entre l'alcool et l'anti-dépresseur. Ça dépend si je préfère choisir le modèle de destruction paternel ou maternel.
Pour ma propore préservation mentale, j'ai commencé à accumuler des excuses bidon en prévision des futures réunions d'agences et fêtes du CE que je compte bien esquiver. Mon chien à mangé mon invitation, on a eu une innondation d'incendie, il y a eu une pluie de grenouilles ... Quant à mon entretien d'évaluation, je me le mets en supositoire.
J'imagine que je serai bien un jour obligé de repasser par l'agence. Peut-être alors oserais-je mettre une petite plaque commémorative sur la porte d'entrée. Là aussi j'hésite entre "le travail rend libre" ou bien "toi qui entre ici, abandonne tout espoir". Éternelle dualité germano-latine. Je reste ouvert à toute suggestion.
Mon C.V a plu, c'est certain. Mon discours aussi, fougueux et plein de verve. Jeune mais pas foufou. Vieux mais encore dynamique. Je n'ai pas eu à chercher beaucoup pour trouver mieux payé. 10% de culbute pour ... une autre société de services.
Et là je me suis dit: "à quoi bon ?". Surtout en devinant que je n'allais pas être augmenté avant plusieurs années et que la société de services en question risquait fort de m'envoyer par monts et par vaux.
J'ai refusé le poste, prétextant une alternative plus intéressante (attendre mieux en l'occurence).
Et depuis, plus rien. Tout le monde fait le mort.
Enfin presque tout le monde. Depuis plusieurs jours, mon trou du cul de commercial me harcèle au téléphone. "Il faut que tu me rappelle". Ben non, j'ai pas de GSM de fonction, moi, et en plus je suis enfin en vacances, loin des turpitudes professionnelles, alors lâche moi un peu les couilles grand con.
En reprennant hier, je l'ai tout de même rappelé. Il voulait me demander des informations sur la fin de ma mission. Comme je n'en avais aucune depuis mon départ, il a téléphoné dans la foulée à mon responsable client qui lui a dit que ... ce genre d'information ne se lâchait pas au téléphone en plein milieu d'un open space. Ca me fait toujours triper quand la relation sempaï / kohaï remontre à contre-courant de l'âge.
C'est aussi très marrant de voir comment quelqu'un au planning soi-disant surchargé, arrive à débloquer une heure ou deux pour un rendez-vous parce qu'il le veut bien. Décallant ce faisant d'autres rendez-vous et faisant chier un max de monde, je connais l'animal.
Enfin passons, il s'avère que ma mission va se terminer sous peu. Ce qui arrange bien mon connard de commercial qui cherchait justement à me placer ailleurs. Un truc que je ne sais pas faire. Un truc que je n'aime pas faire. Un truc que je vais quand même devoir faire.
Le hic, c'est que je me suis un peu avancé en lui lâchant froidement à la gueule que s'il me les brisait trop menues, j'avais une offre plus intéressante de la concurrence. Ce a quoi il a répondu du tac au tac: "on se voit cet aprem et t'es plus là lundi". Mouhhaaa ... :-(((
C'est fou ce qu'on peu apprendre sur soi même en peu de tempse suis un pleutre et un poltron. La mission que me proposait mon salaud de commercial avait l'avantage d'avoir une grosse visibilité et de ne pas être trop loin de chez moi (les raisons qui ont fait que j'ai refusé l'offre concurrente). Et puis bon en ce moment, je cours après les thunes alors le chômage sans indemnité serait pire qu'un boulot de merde, dans une société de service de merde, avec un commercial de merde, chez un client de merde. Bref, j'étais dans la ... panade.
Tel un chien battu, j'ai donc rappelé mon trou du cul de commercial, la queue entre les jambes et j'ai sacrifié aux fourches caudines. Lui expliquant que la mission était intéressante, que j'avais déjà décidé de rester. Et lui de jubiler en me servant un gros lavage de cerveau façon "bon retour dans notre secte, petite brebis égarée".
Là tout de suite, j'hésite entre l'alcool et l'anti-dépresseur. Ça dépend si je préfère choisir le modèle de destruction paternel ou maternel.
Pour ma propore préservation mentale, j'ai commencé à accumuler des excuses bidon en prévision des futures réunions d'agences et fêtes du CE que je compte bien esquiver. Mon chien à mangé mon invitation, on a eu une innondation d'incendie, il y a eu une pluie de grenouilles ... Quant à mon entretien d'évaluation, je me le mets en supositoire.
J'imagine que je serai bien un jour obligé de repasser par l'agence. Peut-être alors oserais-je mettre une petite plaque commémorative sur la porte d'entrée. Là aussi j'hésite entre "le travail rend libre" ou bien "toi qui entre ici, abandonne tout espoir". Éternelle dualité germano-latine. Je reste ouvert à toute suggestion.
17 janvier 2008
10 janvier 2008
Debut d'année et ... changement de client.
Ce coup-ci c'est - presque - officiel. On m'a enfin trouvé un remplacant pour ma mission actuelle, et je quitte donc mon cher client actuel pour un autre. OUF.
Bon si le temps m'a appris quelque chose concernant ce genre de nouvelle c'est que tant qu'on est pas parti ce n'est pas encore fait, donc je reste circonspect quant à la réalité de la chose. Mais mon départ est programmé pour le 4, champagne.
Pour mon remplacant, on lui a fait passer un entretien, il est pas super motivé pour le poste, n'a pas les pré-requis technique, mais est pris quand même ... no comment, toujours la même gestion des ressources humaines.
Même client depuis mon entrée dans ma boîte, soit 2 ans et 8 mois, d'un long calvaire, émaillé de personnes fortement antipatiques et d'autres fortement sympathiques (voir plus). Toutes ces personnes sont réparties dans les 2 bords que ce soit celui de ma boîte ou celui du client. Les premières tomberont rapidement dans l'oubli, et je garderais si possible des contacts avec les secondes.
On apprend aussi beaucoup en en bavant, même un abruti peut au moins t'apprendre ce qu'il ne faut pas faire (et là je crois que je suis assez au point sur ce qu'il ne faut pas faire). Maintenant ça fait quand même du bien quand ça s'arrête :-).
Vivement février :D et bonne année
Bon si le temps m'a appris quelque chose concernant ce genre de nouvelle c'est que tant qu'on est pas parti ce n'est pas encore fait, donc je reste circonspect quant à la réalité de la chose. Mais mon départ est programmé pour le 4, champagne.
Pour mon remplacant, on lui a fait passer un entretien, il est pas super motivé pour le poste, n'a pas les pré-requis technique, mais est pris quand même ... no comment, toujours la même gestion des ressources humaines.
Même client depuis mon entrée dans ma boîte, soit 2 ans et 8 mois, d'un long calvaire, émaillé de personnes fortement antipatiques et d'autres fortement sympathiques (voir plus). Toutes ces personnes sont réparties dans les 2 bords que ce soit celui de ma boîte ou celui du client. Les premières tomberont rapidement dans l'oubli, et je garderais si possible des contacts avec les secondes.
On apprend aussi beaucoup en en bavant, même un abruti peut au moins t'apprendre ce qu'il ne faut pas faire (et là je crois que je suis assez au point sur ce qu'il ne faut pas faire). Maintenant ça fait quand même du bien quand ça s'arrête :-).
Vivement février :D et bonne année
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